Quand la fessée dérape vers autre chose

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il y a 4 ans

Nous étions en train de discuter dans la cuisine, quand ma main se pose sur le paquet de chocolat et en attrape un, que je déguste. Mon estomac crie famine. Puis, j’en prends un second. J’en étais presque à la fin quand, vous vous retournez vers moi et me demandez si c’est une heure pour manger du chocolat, en sachant que nous allons passer à table. Vous me grondez un peu mais sans plus. Jusqu'à ce que je vous dise que, je ne peux pas espérer en avoir un troisième, d’un air suppliant. Vous prenez ma question pour de la provocation, ce qui est plutôt vrai. Votre réponse est sans appel « Non et cela mérite une fessée ! ». Vous ne plaisantez pas. Vous vous asseyez sur la chaise et m’ordonnez de m’allonger sur vos genoux. Je m’exécute en boudant un peu. Je voulais juste un morceau de chocolat… Après m’avoir déculottée, vous commencez la fessée. Les claques sont sèches et déjà d’intensité moyenne. Tout en continuant la fessée, vous me grondez. Vous me rappelez que ce n’est pas bon de grignoter entre les repas et encore moins, juste avant un repas. Je ne réponds rien. Vos claques augmentent en intensité, me faisant gigoter et commençant à me faire regretter d’avoir manger du chocolat.

J’ai l’impression que mon fessier s’embrase. Je ne peux m’empêcher de croiser les jambes, ce qui me vaut une claque sur les cuisses. Je décroise instantanément et les claques reprennent leur danse. Je finis par laisser échapper quelques gémissements de douleur. Les claques sont fortes maintenant et mes fesses doivent avoir la couleur d’une tomate bien mûre. Vous continuez encore cinq minutes, afin que la leçon soit bien rentrée. Elle l’est, je ne suis pas prête de remanger du chocolat avant un repas. Mes fesses sont douloureuses et chaudes quand, vous me reculottez et faîtes relever de vos genoux. Vous me tendez les bras pour un câlin en me disant que je suis pardonnée.

Nous terminons de discuter, mais je ne peux m’empêcher de vous provoquer un peu. A un moment, vous me dîtes que si je continue, je vais avoir comme repas un pot de bébé, histoire de m’apprendre. Ma réponse est immédiate « Non ! ». Vous vous retournez avec dans les yeux, une lueur oscillant entre jeu et désir. Votre réponse est « Redis-moi non. Ça m’excite »

Je recommence donc. Vous vous approchez de moi. Une de vos mains passe dans mon cou et m’attrape les cheveux, la seconde vient se glisser entre mes jambes et commence à me caresser. Le mot « encore » tombe comme un ordre, auquel j’obéis sans réfléchir. Votre bouche se pose sur la mienne et deviens possessive, exigeante. Vos caresses se font plus appuyées et je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Plus le temps passe et plus notre désir respectif augmente.

Je songe sérieusement à vous supplier de me prendre là, maintenant. J’ai envie de vous sentir en moi. Mais, je suis incapable de prononcer ces mots. Après deux minutes, votre main se trouvant dans mes cheveux se raffermit. Elle me sépare de vous et vous me conduisez jusqu’à la chambre. Vous retirez votre main et m’ordonnez de m’allonger sur le dos. Je m’exécute rapidement. Vous me demandez « A qui appartient cette chatte ? » Ma réponse est instantanée, irréfléchie, « à vous ». Elle sera toute aussi instantanée à la question « quand est-ce que je peux en user et abuser ? ». La réponse est « quand vous voulez ».

Mes réponses vous satisfait et vous me prenez en un seul coup de rein. Je me cambre en gémissant de plaisir. Vous raffermissez votre prise sur mes hanches et entamer un va et viens des plus délicieux. Alternant puissance et rapidité avec douceur et lenteur. Je perds très vite pied. Vous vous retirez de moi, puis m’ordonnez de me mettre à genoux. Vous m’ordonnez de vous sucer, ce que je fais sans la moindre hésitation, jusqu’à ce que vous m’arrêtiez.

Vous me faîtes me relever dos au mur, caressez mes seins et m’embrassez. Nous retournons ensuite à la cuisine prendre le déjeuner.

c'est exactement ce que je voudrais vivre, d'autant plus que je suis très gourmande de chocolat aussi.
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